Chez Gestev, la course à pied fait partie intégrante du travail et de la routine personnelle. Bien sûr, personne de l’équipe n’est un athlète olympique. L’important c’est de prendre du temps pour soi, de retirer une fierté dans l’accomplissement d’une course et de se sentir bien. Quelques membres de l’équipe ont mis sur papier la motivation première qui les pousse à enfiler leurs runnings! Ils vous partagent leur anecdote de course à pied et la raison pour laquelle ils sont tombé en amour avec ce sport.
Ce qui me pousse à enfiler mes espadrilles? Remplir mes poumons d’air tout en voyant du pays! Les montagnes de la Norvège, les paysages tropicaux de l’Australie, le bord de mer de la Martinique et la nature abondante de notre Côte Nord sont pour moi des sources d’énergie qui me poussent à me dépasser.
Pour visiter un nouvel endroit, quoi de mieux que de le découvrir à grandes enjambées, au rythme des joggeurs locaux? L’instant de quelques kilomètres, je me fonds dans le paysage et je m’approprie les rues de cet environnement inconnu. La coureuse touristique en moi ne se fixe pas des objectifs de performance, mais mise plutôt sur la beauté du moment souvent immortalisée en photo. Peu importe la destination, il y a toujours un espace réservé dans ma valise pour mes chaussures de course à pied et, bien sûr, une caméra!
COURIR. Ma tête, mon cœur et presque mon corps en général aime l’idée… mais pas mes genoux!
Mais je m’entête et je cours tout de même à l’occasion. Mon choix de course: les intervalles course-marche en sentier. Il s’agit pour moi d’un moment d’évasion complet. Les souches, les roches, les écureuils… beaucoup de distractions qui demandent de demeurer 100% dans le moment présent.
Habitant dans la région de Mont-Sainte-Anne, bien qu’un choix infini de sentiers s’offre à moi, mon préféré demeure le sentier des chutes Jean-Larose. Et quand j’ai envie de plus, le sentier de la Mestachibo à St-Ferréol-les-Neiges gagne la palme.
Je ne me considère pas une grande coureuse, mais quand je m’y adonne, je suis toujours très fière de moi et bien dans mon corps et ma tête. Je suis donc une coureuse d’occasion qui ajoute cette composante aux saines habitudes de vie que je tente d’adopter le plus possible… dans le cadre de ma tumultueuse et passionnante vie gestevienne! #jecoursQC
Coureuse du dimanche… mardi, jeudi! Sur les Plaines d’Abraham, j’ai mon fan Club de course à pied. Tous ceux qui me font un gentil signe quand je croise leur regard, saluant ainsi l’instant de motivation qui nous réunit-là. Eux, moi, nos souliers de course, c’est l’appel que j’ai eu il y a 7 ans, alors que je me donnais le défi de réaliser un demi-marathon (prétexte pour faire passer ma première peine d’amour). Depuis ce temps, 6 demi-marathons plus tard, je prends plaisir à m’appeler une coureuse même si la discipline n’est pas toujours au rendez-vous. J’avale les kilomètres avec mes amis Radio Radio, Ben Howard, Sigur Rós, IAM et Rihanna bien forts dans mes oreilles. Je cours sous la pluie pour me sentir en vie, pendant l’heure d’or pour un peu de poésie et dans le froid pour ne pas perdre le rythme avec l’hiver.
Moi, #jecoursqc
Je ne suis pas un coureur assidu, par contre, j’adore parcourir de longues distances à la marche. Une fois par année, je sillonne un trajet de 46,2 km entre Montréal et Châteauguay, en banlieue de la métropole. Mon défi en est plutôt un d’endurance, même si j’essaie d’améliorer mon temps à chaque année. Quelques semaines avant d’entreprendre ma fameuse marche, je m’entraîne en parcourant des distances de 6 km en une quarantaine de minutes sur mes heures de dîner. Lorsque je me sens prêt, je choisis un samedi ensoleillé – et parfois même lors d’une canicule pour ajouter à l’aspect d’endurance – et je quitte tôt le matin pour arriver en fin d’après-midi. J’utilise l’application Nike Running pour connaître mon rythme à chaque kilomètre parcouru et pour immortaliser mon trajet. En partant de Montréal, je passe du milieu urbain à l’environnement rural – il y a presque toujours de quoi de nouveau à voir. Cette année, j’aimerais essayer de faire deux marathons.
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